National Academies Press: OpenBook

Radioactive Sources: Applications and Alternative Technologies: French Version (2022)

Chapter: Annexe A: Notices biographiques des membres du comité et du personnel

« Previous: Références
Suggested Citation:"Annexe A: Notices biographiques des membres du comité et du personnel." National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine. 2022. Radioactive Sources: Applications and Alternative Technologies: French Version. Washington, DC: The National Academies Press. doi: 10.17226/26454.
×

Annexe A

Notices biographiques des membres du comité et du personnel

Thomas K. Kroc, Ph.D. (Président), est un physicien d'application III au Fermi National Accelerator Laboratory (Fermilab). Il a fait une présentation sur la stérilisation des dispositifs médicaux par faisceau d'électrons et par rayons X lors de la réunion du comité consultatif sur les dispositifs médicaux de la Food and Drug Administration General Hospital and Personal Use Devices Panel en novembre 2019. Il a organisé deux ateliers sur la stérilisation des dispositifs médicaux pour promouvoir l'utilisation des faisceaux d'électrons et des rayons X en 2019 et 2020. Il était membre du groupe de travail sur les technologies alternatives non isotopiques qui a publié un livre blanc sur les technologies alternatives non isotopiques en 2019. Il a été l'auteur principal du livre blanc Accelerator-Driven Medical Sterilization to Replace Co-60 Sources rédigé pour la National Nuclear Security Administration en 2017. Il a été membre du comité d'organisation d'un atelier conjoint du Département de l'énergie et de l'Institut national du cancer sur la thérapie par faisceau d'ions en janvier 2013. Pendant 20 ans, il a travaillé au sein de la Neutron Therapy Facility du Fermilab, qui offrait un service de radiothérapie externe pour le cancer à l'aide de neutrons rapides. Il a assumé la direction de ce programme de 2008 jusqu'à sa fermeture en 2013. Il s'intéresse notamment au développement des technologies des accélérateurs, aux applications des accélérateurs et des technologies des accélérateurs, à la stérilisation des dispositifs médicaux, aux interactions rayonnement-matière et à la physique médicale. M.Kroc est titulaire d'un doctorat en physique (1989) de l'Université de l'Illinois à Urbana-Champaign. Il a obtenu son diplôme de premier cycle en ingénierie physique (1981) à l'Ohio State University.

Robert A. Bari, Ph.D., est un scientifique senior émérite au Brookhaven National Laboratory. Il a participé à la conception, aux évaluations de sécurité et de sûreté d'installations complexes de haute technologie depuis qu'il a rejoint les programmes appliqués du laboratoire en 1974. Il a travaillé sur des projets et des questions concernant les technologies de sûreté, de sécurité et de non-prolifération nucléaires, la gestion des déchets nucléaires et le développement de réacteurs nucléaires avancés, et a dirigé de nombreuses études sur les concepts d'énergie nucléaire avancée. Il a publié plus de 150 articles et a donné de nombreuses conférences sur ces sujets. M.Bari est l'ancien coprésident international (2002-2017) du groupe de travail qui a élaboré une méthodologie complète pour l'évaluation de la résistance à la prolifération et de la protection physique de tous les nouveaux concepts d'énergie nucléaire proposés dans le cadre du Forum international Génération IV multinational. Il a obtenu son doctorat en physique à l'université Brandeis et sa licence en physique à l'université Rutgers. M.Bari a été membre auxiliaire de la faculté et conseiller de plusieurs grandes universités dans le domaine de la technologie nucléaire, ainsi que membre du conseil d'administration de l'American Nuclear Society (ANS). Il est l'ancien président de l'International Association for Probabilistic Safety Assessment and Management et l'ancien président du ANS Consensus Standards Committee for Probabilistic Risk Assessment. Il est maintenant membre à part entière du ANS

Suggested Citation:"Annexe A: Notices biographiques des membres du comité et du personnel." National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine. 2022. Radioactive Sources: Applications and Alternative Technologies: French Version. Washington, DC: The National Academies Press. doi: 10.17226/26454.
×

Standards Board et membre du Consensus Committee for Non-Reactor Nuclear Facility Standards. Il a été membre du National Academies Committee on Lessons Learned from the Fukushima Nuclear Accident for Improving Safety and Security of U.S.Nuclear Plants. Pour ses réalisations en matière de sûreté nucléaire, M.Bari a reçu le prix Theo J. « Tommy » Thompson en 2003 par l'ANS. En 2004, il a reçu le Brookhaven National Laboratory Award for Outstanding Achievement in Science and Technology. M.Bari est membre des sociétés d'honneur Phi Beta Kappa, Sigma Xi et Sigma Pi Sigma et membre élu de l'ANS et de l'American Physical Society.

Deborah W. Bruner (NAM), Ph.D., RN, FAAN, est la vice-présidente principale de la recherche à l'Université Emory. Le Dr Bruner est également professeur et titulaire de la chaire Robert W.Woodruff en soins infirmiers, professeur de radio-oncologie et membre du Winship Cancer Institute. Elle est chercheur et spécialiste des essais cliniques de renommée internationale, spécialisée dans les résultats rapportés par les patients, la gestion des symptômes et l'efficacité comparative des modalités de radiothérapie. Dans le cadre de son travail à l'échelle mondiale, elle dirige actuellement un projet visant à aider à préparer l'ouverture de la première radiothérapie moderne en Éthiopie par le biais de la planification des traitements en 3D et de l'assurance qualité. Le leadership du Dr Bruner, notamment au sein du réseau national d'essais cliniques parrainé par le National Cancer Institute (NCI), transcende les disciplines et a permis d'améliorer la santé et la qualité de vie des personnes traitées pour un cancer et de réduire les coûts. Elle est membre de la National Academy of Medicine et a remporté de nombreux prix pour ses recherches et son mentorat. Depuis 1998, Mme Bruner a bénéficié d'un financement continu de la part de sponsors tels que l'American Cancer Society, le ministère de la Défense, l'Oncology Nursing Society, le Commonwealth de Pennsylvanie, le National Institute of Nursing Research, le NCI et les National Institutes of Health. Elle a obtenu son doctorat en recherche infirmière, avec une spécialisation en recherche sur les résultats, à l'Université de Pennsylvanie.

Hubert K. Foy, M.S., est le directeur fondateur et un chercheur principal à l'African Centre for Science and International Security, dont le siège est à Accra, au Ghana. M.Foy est également consultant sur les questions de sécurité nucléaire et radiologique en Afrique auprès de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et du ministère de l'Énergie. En outre, M.Foy est membre du comité de rédaction et assure la liaison avec la Professional Review pour l'International Journal of Nuclear Security. Depuis une dizaine d'années, M.Foy a publié et donné de nombreuses conférences sur la non-prolifération et le désarmement nucléaires, la sécurité nucléaire et radiologique, la sûreté et la sécurité de l'espace, ainsi que les sciences et technologies à double usage. Le Bulletin of the Atomic Scientists a publié certaines de ses analyses sur la sécurité nucléaire, par exemple, « Sustaining Progress in Nuclear Security Without the Summits—an African view ». Le Space Safety Magazine a publié certains de ses articles, par exemple « Building the World's First Automated Space Debris Tracker ». En 2012, il a été boursier en sécurité nucléaire à l'École internationale sur la sécurité nucléaire de Trieste. En 2011, à la Norwegian Radiation Protection Authority contre les radiations, il a été boursier technique en non-prolifération et désarmement pour l'Initiative Royaume-Uni-Norvège. Il est membre du Groupe de travail sur les matières fissiles et vice-président du Groupe de travail III du réseau international d'éducation à la sécurité nucléaire de l'AIEA. Il est membre du groupe d'experts international de l'indice de sécurité nucléaire de la Nuclear Threat Initiative. Il est titulaire d'une maîtrise en études spatiales de L’International Space University l(Université internationale de l'espace) en France, d'une maîtrise en études de politique internationale du Middlebury Institute of International Studies à Monterey et d'une licence en physique et en informatique de l'Université de Buea au Cameroun.

Pamela J. Henderson, M.S., a pris sa retraite de la Commission de réglementation nucléaire des États-Unis (NRC des États-Unis) en mars 2017 après 25 ans de service. Elle a rejoint la NRC des États-Unis en 1991 en tant que physicienne de la santé au bureau de la Région I. Elle a occupé un certain nombre de postes à responsabilités croissantes au sein du bureau régional, notamment le chef de la Division de la sûreté des matières nucléaires et le chef de la Division de la sûreté des réacteurs. En novembre 2009, elle a suivi le programme de développement des candidats du service des cadres supérieurs de la NRC et a reçu son certificat de qualification de cadre supérieur en mars 2010. En juillet 2012, elle a déménagé au siège social de la NRC et a pris le poste de directrice adjointe de la Division of Materials Safety and State Agreements de l'Office of Federal and State Materials and Environmental Management Programs. Avant de travailler à la NRC des États-Unis, elle a été responsable de la radioprotection au centre médical de l'Université de Californie, Irvine, pendant 9 ans. En 1976, elle a obtenu une licence en biologie

Suggested Citation:"Annexe A: Notices biographiques des membres du comité et du personnel." National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine. 2022. Radioactive Sources: Applications and Alternative Technologies: French Version. Washington, DC: The National Academies Press. doi: 10.17226/26454.
×

et études environnementales du Cedar Crest College (Allentown, Pennsylvanie), une deuxième licence en 1979 en chimie et médecine nucléaire du Wagner College (Staten Island, New York), et une maîtrise en 1982 en physique de la santé du Georgia Institute of Technology (Atlanta).

Bonnie D. Jenkins, Ph.D., LL.M., M.P.A., J.D., est la fondatrice et la directrice exécutive de Women of Color Advancing Peace, Security and Conflict Transformation et membre senior non résident de la Brookings Institution. Elle est professeur adjoint à Georgetown University School of Foreign Service et à la George Washington University Elliott School of International Affairs. De juin 2009 à janvier 2017, elle a occupé, avec le rang d'ambassadrice, le poste de coordinatrice des programmes de réduction des menaces au Département d'État (DOS), où elle était la représentante des États-Unis auprès du Partenariat mondial du G7 et la responsable du DOS pour les sommets sur la sécurité nucléaire. Avant de travailler au DOS, Mme Jenkins a travaillé à la Fondation Ford pour la politique étrangère et de sécurité des États-Unis, a été conseillère auprès de la Commission nationale sur les attaques terroristes contre les États-Unis (Commission 9/11) et conseillère auprès de l'Agence Internationale de Maîtrise des Armements et de Désarmement (AIMAD). Elle est officier de réserve de la marine à la retraite. Elle a également été membre du Belfer Center de la John F. Kennedy School of Government de l'université Harvard. Elle est titulaire d'un doctorat de l'université de Virginie, d'un LL.M. de l'université de Georgetown, d'un M.P.A.de l'université d'État de New York à Albany, d'un J.D. de la faculté de droit d'Albany et d'un B.A. du Amherst College. Le Dr Jenkins siège au Conseil des études nucléaires et des radiations des National Academies.

P. Andrew Karam, Ph.D., travaille sur divers aspects de la radioprotection depuis qu'il a rejoint le programme d'énergie nucléaire de l'U.S.Navy en 1981. Son expérience professionnelle dans ce domaine est variée : il a notamment formé des étudiants de la marine au fonctionnement des réacteurs et des centrales de propulsion, enseigné à l'Institut de technologie de Rochester, géré le programme de radioprotection de l'Université de Rochester et du Strong Memorial Hospital, participé à la conception et à l'exploitation du système d'interdiction radiologique et nucléaire de la ville de New York (NYC), évalué les programmes de radioprotection et de sûreté-criticité d'une usine d'enrichissement de l'uranium, et dispensé des conseils et des formations à un large éventail de clients. En rapport direct avec les objectifs de cette étude, le Dr Karam a participé à un audit de la sécurité des matières radioactives à l'échelle de la ville de New York, a participé à un exercice de la police de New York sur la sécurité des matières radioactives et a géré la sécurité de plusieurs sources radioactives de haute activité à l'Université de Rochester et au Strong Memorial Hospital. M. Karam a participé à l'enseignement d'un cours d'Interpol sur la contrebande transfrontalière de matières radioactives et nucléaires. Il a également co-écrit une brochure sur les aspects pratiques de la sécurité des matières radioactives pour le Département de la santé de New York et a participé à trois missions pour l'Agence internationale de l'énergie atomique qui comprenaient des évaluations de la sécurité des matières radioactives dans les pays visités. Il est titulaire d'un doctorat en sciences de l'environnement de l'Université d'État de l'Ohio.

Linda A. Kroger, M.S., est professeur adjoint de radiologie à la faculté de médecine de l'Université de Californie (UC), Davis, et est responsable de la radioprotection pour le système de santé de l'UC Davis depuis 18 ans. Avant son arrivée à l'UC Davis, Mme Kroger a travaillé pour le secteur privé dans la recherche en biopharmacologie et le développement de médicaments. Elle est passée à la recherche sur le cancer lorsqu'elle a rejoint l'UC Davis en 1988. De 1988 à 2000, ses recherches ont porté sur le développement de nouveaux produits radiopharmaceutiques pour l'imagerie diagnostique et le traitement du lymphome non hodgkinien et du cancer du sein. Depuis qu'elle a pris ses fonctions de responsable de la radioprotection en 2003, elle s'est concentrée sur la conformité réglementaire, les questions d'assurance qualité et la formation des étudiants en médecine, des résidents et des boursiers dans le but général d'améliorer la radioprotection sur le lieu de travail. Mme Kroger supervise les aspects non cliniques de la formation en médecine nucléaire pour le programme de résidence en radiologie à UC Davis. En outre, elle s'est intéressée à la préparation aux urgences radiologiques. Mme Kroger est l'auteure ou la coauteure de plus de 50 articles de journaux évalués par des pairs et a fait des présentations lors de nombreuses conférences scientifiques. Elle est active au sein de la Health Physics Society, notamment en tant que présidente de la section médicale, ainsi qu'en tant que participante active aux comités du National Council for Radiation Protection and Measurements (NCRP) depuis 2005, coauteure de deux rapports du NCRP et membre du conseil du NCRP depuis 2016. Mme Kroger a obtenu sa licence et sa maîtrise à l'université Rutgers et travaille à UC Davis depuis 33 ans.

Michael O. McWilliams, Ph.D., M.Sc., est professeur émérite de sciences géologiques et environnementales à l'Université de Stanford. Il a commencé sa carrière à Stanford en 1977 en tant que chercheur postdoctoral et a rejoint

Suggested Citation:"Annexe A: Notices biographiques des membres du comité et du personnel." National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine. 2022. Radioactive Sources: Applications and Alternative Technologies: French Version. Washington, DC: The National Academies Press. doi: 10.17226/26454.
×

la faculté de Stanford en 1980. Ses spécialités de recherche sont la géophysique et la géochimie appliquées aux sciences de la terre, en particulier la tectonique globale, les ressources terrestres et la science des isotopes. Outre la direction de la recherche à Stanford, il a occupé divers postes de direction et de gouvernance dans le monde universitaire et gouvernemental, notamment en tant que directeur général de GNS Science (Nouvelle-Zélande), chef de la division des sciences de la terre et de l'ingénierie des ressources de la Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation (CSIRO) (Australie), et directeur du John DeLaeter Centre of Isotope Science. Plus récemment, le Dr McWilliams a mis en place la Deep Earth Imaging Future Science Platform du CSIRO, qui vise à aider à découvrir les futurs minéraux et ressources énergétiques et hydriques à l'aide de nouvelles méthodes géophysiques, d'analyses de données avancées et de techniques mathématiques afin de fournir une meilleure imagerie de la subsurface à partir de données éparses, incomplètes et bruyantes. Le Dr McWilliams a obtenu un baccalauréat en physique de l'Université St.Lawrence, une maîtrise en géophysique de l'Université de Toronto et un doctorat en géophysique de l'Université nationale australienne.

Cathleen (Kate) M. Roughan, M.S., était chef d'équipe, Gestion des sources radioactives scellées désaffectées (DSRS), Division du cycle du combustible nucléaire et de la technologie des déchets, Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), et était chargée de superviser une équipe de professionnels et d'aider les États membres de l'AIEA à assurer la gestion sûre, sécurisée et durable des DSRS jusqu'à sa retraite en 2020. Elle a travaillé à l'élaboration de documents d'orientation, de cours de formation et de missions d'experts, et a développé et mis en œuvre des outils et des technologies pour soutenir les options appropriées de gestion de fin de vie des DSRS (réutilisation, recyclage, retrait, stockage, élimination et technologies alternatives). Auparavant, elle était directrice des affaires réglementaires et de l'assurance qualité pour QSA Global, Inc.à Burlington, Massachusetts (1983-2013), où elle a mis en œuvre le programme de conformité réglementaire mondial pour la fabrication de sources scellées et de dispositifs utilisés en radiographie industrielle, en jaugeage et dans des applications médicales. Cela comprenait l'obtention et le maintien de toutes les licences et autorisations nécessaires à la fabrication, l'utilisation, le transport et l'élimination des sources et dispositifs radioactifs dans le cadre des programmes de sûreté, d'assurance qualité et de sécurité. Mme Roughan a obtenu un B.S. en biologie de la Southeastern Massachusetts University à Dartmouth, Massachusetts, et un M.S.en santé radiologique de l'University of Lowell à Lowell, Massachusetts.

Stephen J. Wagner, Ph.D., M.S., a été le directeur principal du département d'innovation transfusionnelle de l'American Red Cross Holland Laboratory for the Biomedical Sciences à Rockville, dans le Maryland, jusqu'à sa retraite en 2020. Le Dr Wagner a reçu la Daymon Runyon-Walter Winchell Fellowship Grant du National Cancer Institute et deux National Tiffany Awards de l'American Red Cross pour ses réalisations techniques et sa gestion exceptionnelles. Le Dr Wagner a enseigné à la Bowling Green State University et a été membre de l'American Society for Microbiology, de l'American Society for Photobiology, de l'American Association of Blood Banks, de l'International Society for Blood Transfusion et de l'American Society for Hematology. Il a fait partie du comité de rédaction du rapport d'étude consensuel de 2008 des National Academies Radiation Source Use and Replacement. Le Dr Wagner a obtenu une licence en chimie à l'Université du Maryland, College Park, et une maîtrise et un doctorat en biophysique à l'Université d'État de Pennsylvanie.

David L. Weimer, Ph.D., M.P.P., M.A., est professeur d'économie politique Edwin E.Witte à l'Université du Wisconsin-Madison. Ses recherches portent essentiellement sur l'élaboration des politiques et la conception des institutions. Bien que la plupart de ses recherches récentes aient porté sur des questions de politique de santé, il a effectué des recherches pertinentes sur le plan des politiques dans les domaines de la sécurité énergétique, de la politique des ressources naturelles, de l'éducation, de la justice pénale et des méthodes de recherche. En 2006, le Dr Weimer a été président de l'Association for Public Policy Analysis and Management. En 2008, il a été élu membre de la National Academy of Public Administration et, en 2013, il a été président de la Society for Benefit-Cost Analysis. Le Dr Weimer a fait partie du comité d'auteur du rapport d'étude consensuel de 2008 des National Academies Radiation Source Use and Replacement. Il a obtenu une licence en ingénierie et sciences appliquées de l'Université de Rochester. Il est titulaire d’une maîtrise en statistique, d’une maîtrise en politiques publiques et d’un doctorat, tous obtenus à l’Université de Californie, à Berkeley.

John A. Williamson, M.S., est l'administrateur du Bureau of Radiation Control's Environmental Radiation Programs du Florida Department of Health. Il est membre de la Conference of Radiation Control Program Directors (CRCPD), où il préside la Task Force on Inter-Organizational Activities et siège au Department of Homeland

Suggested Citation:"Annexe A: Notices biographiques des membres du comité et du personnel." National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine. 2022. Radioactive Sources: Applications and Alternative Technologies: French Version. Washington, DC: The National Academies Press. doi: 10.17226/26454.
×

Security Nuclear Government Coordinating Council, où il représente la CRCPD. Il est également l'un des deux commissaires de Floride au Southeast Low Level Radioactive Waste Compact, dont il est actuellement le président. M.Williamson est le représentant autorisé du gouverneur de Floride pour la notification des expéditions de matières radioactives relevant des parties 71, 73 et 37.

Il s'intéresse notamment au développement du Radiation Response Volunteer Corps, à l'amélioration de la sécurité des expéditions de matières radioactives et à l'amélioration des interventions en cas d'urgences radiologiques.

Il travaille pour le Bureau depuis 1992. M.Williamson est titulaire d’une maîtrise en chimie de l’Université de la Caroline du Sud (1989) et d’un diplôme de premier cycle en chimie obtenu à l’Université de Tampa, en Floride, en 1986.

ÉQUIPE

Ourania Kosti, Ph.D., M.Sc. (Directrice d'étude), est un agent de programme principal au Nuclear and Radiation Studies Board (NRSB) des National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine. Les intérêts de Mme Kosti au sein du NRSB portent sur les effets des rayonnements sur la santé, et elle est la chercheuse principale du Radiation Effects Research Foundation Program des National Academies qui soutient les études sur les survivants des bombardements atomiques au Japon. Avant d'être nommée à son poste actuel, elle a été boursière postdoctorale au Lombardi Comprehensive Cancer Center de l'hôpital universitaire de Georgetown, où elle a mené des recherches sur le développement de biomarqueurs pour la détection précoce du cancer à l'aide de plans d’études épidémiologiques de contrôle de cas. Elle s'est principalement intéressée aux cancers de la prostate, du sein et du foie et a tenté d'identifier les personnes présentant un risque élevé de développer des tumeurs malignes. Le Dr Kosti a également suivi une formation à l'Institut national du cancer (2005-2007). En 2019, le Dr Kosti, en collaboration avec un groupe d'experts mondiaux en épidémiologie et dosimétrie des rayonnements, a créé la première société internationale d'épidémiologie des rayonnements et de dosimétrie (ISoRED). Elle est titulaire d'une licence en biochimie de l'université du Surrey (Royaume-Uni), d'une maîtrise en médecine moléculaire de l'University College London et d'un doctorat en endocrinologie moléculaire du St. Bartholomew's Hospital de Londres (Royaume-Uni).

Charles D. Ferguson, Ph.D., M.A., est le directeur du Nuclear and Radiation Studies Board de la Division on Earth and Life Studies des National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine. Auparavant, il était président de la Federation of American Scientists (FAS). Avant de rejoindre la FAS, il a travaillé comme agrégé supérieur de recherche Philip D.Reed pour la science et la technologie au Council on Foreign Relations (CFR), où il s'est spécialisé dans les questions nucléaires, et a été directeur de projet pour l'Independent Task Force on U.S. Nuclear Weapons Policy présidé par William J. Perry et Brent Scowcroft. Avant le CFR, il était le scientifique en résidence du Monterey Institute's Center for Nonproliferation Studies, où il a co-écrit le livre The Four Faces of Nuclear Terrorism (Routledge, 2005) et a été l'auteur principal du rapport de janvier 2003 Commercial Radioactive Sources: Surveying the Security Risks. Pour ses travaux sur la sécurité des sources radioactives, il a reçu le Robert S. Landauer Memorial Lecture Award de la Health Physics Society en 2003. Il est également l'auteur de Nuclear Energy: What Everyone Needs to Know (Oxford University Press, 2011). En outre, il a travaillé en tant que spécialiste des sciences physiques au Bureau de la sûreté nucléaire du Département d'État, et il a été officier d'ingénierie nucléaire et officier de sous-marin dans la marine américaine. Il est membre élu de l'American Physical Society en reconnaissance de ses services en matière de politique publique et d'éducation du public sur les questions nucléaires. M. Ferguson a obtenu un B.S. en physique avec distinction de l'Académie navale des États-Unis et un M.A. et un doctorat en physique de l'Université de Boston.

Suggested Citation:"Annexe A: Notices biographiques des membres du comité et du personnel." National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine. 2022. Radioactive Sources: Applications and Alternative Technologies: French Version. Washington, DC: The National Academies Press. doi: 10.17226/26454.
×

This page intentionally left blank.

Suggested Citation:"Annexe A: Notices biographiques des membres du comité et du personnel." National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine. 2022. Radioactive Sources: Applications and Alternative Technologies: French Version. Washington, DC: The National Academies Press. doi: 10.17226/26454.
×
Page 157
Suggested Citation:"Annexe A: Notices biographiques des membres du comité et du personnel." National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine. 2022. Radioactive Sources: Applications and Alternative Technologies: French Version. Washington, DC: The National Academies Press. doi: 10.17226/26454.
×
Page 158
Suggested Citation:"Annexe A: Notices biographiques des membres du comité et du personnel." National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine. 2022. Radioactive Sources: Applications and Alternative Technologies: French Version. Washington, DC: The National Academies Press. doi: 10.17226/26454.
×
Page 159
Suggested Citation:"Annexe A: Notices biographiques des membres du comité et du personnel." National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine. 2022. Radioactive Sources: Applications and Alternative Technologies: French Version. Washington, DC: The National Academies Press. doi: 10.17226/26454.
×
Page 160
Suggested Citation:"Annexe A: Notices biographiques des membres du comité et du personnel." National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine. 2022. Radioactive Sources: Applications and Alternative Technologies: French Version. Washington, DC: The National Academies Press. doi: 10.17226/26454.
×
Page 161
Suggested Citation:"Annexe A: Notices biographiques des membres du comité et du personnel." National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine. 2022. Radioactive Sources: Applications and Alternative Technologies: French Version. Washington, DC: The National Academies Press. doi: 10.17226/26454.
×
Page 162
Next: Annexe B: Réunions de collecte d'informations »
Radioactive Sources: Applications and Alternative Technologies: French Version Get This Book
×
 Radioactive Sources: Applications and Alternative Technologies: French Version
MyNAP members save 10% online.
Login or Register to save!
Download Free PDF

Radioactive Sources: Applications and Alternative Technologies assesses the status of medical, research, sterilization, and other commercial applications of radioactive sources and alternative (nonradioisotopic) technologies in the United States and internationally. Focusing on Category 1, 2, and 3 sources, this report reviews the current state of these sources by application and reviews the current state of existing technologies on the market or under development that are or could be used to replace radioisotopic technologies in those applications. Radioactive Sources will support existing and future activities under the National Nuclear Security Administration Office of Radiological Security program to reduce the use of high-risk radiological materials in commercial applications.

READ FREE ONLINE

  1. ×

    Welcome to OpenBook!

    You're looking at OpenBook, NAP.edu's online reading room since 1999. Based on feedback from you, our users, we've made some improvements that make it easier than ever to read thousands of publications on our website.

    Do you want to take a quick tour of the OpenBook's features?

    No Thanks Take a Tour »
  2. ×

    Show this book's table of contents, where you can jump to any chapter by name.

    « Back Next »
  3. ×

    ...or use these buttons to go back to the previous chapter or skip to the next one.

    « Back Next »
  4. ×

    Jump up to the previous page or down to the next one. Also, you can type in a page number and press Enter to go directly to that page in the book.

    « Back Next »
  5. ×

    Switch between the Original Pages, where you can read the report as it appeared in print, and Text Pages for the web version, where you can highlight and search the text.

    « Back Next »
  6. ×

    To search the entire text of this book, type in your search term here and press Enter.

    « Back Next »
  7. ×

    Share a link to this book page on your preferred social network or via email.

    « Back Next »
  8. ×

    View our suggested citation for this chapter.

    « Back Next »
  9. ×

    Ready to take your reading offline? Click here to buy this book in print or download it as a free PDF, if available.

    « Back Next »
Stay Connected!